26 novembre 2015 (SPA) - Ensuite, Al-Jubeir et son homologue autrichien, ont répondu aux questions des journalistes. Al-Jubeir a nié un changement des positions du Royaume d'Arabie Saoudite ou de l'Autriche concernant la question syrienne et sur le fait de comment appliquer les principes de Genève1 qui nécessitent l'établissement d'un corps transitoire et le remplacement du régime d'Al-Assad par un organisme qui gère les affaires du pays et préserve les institutions civiles et militaires, en plus d'établir une nouvelle constitution pour le pays afin d'assurer un meilleur avenir pour la Syrie avec bien évidemment aucun rôle pour Bachar Al-Assad. Cette question a été convenu lors des réunions à Vienne, tenues pour rapprocher les positions, a ajouté Al-Jubeir, soulignant que la première réunion s'est déroulée avec succès, sur point d'interrogation sur comment et quand le départ de Bachar Al-Assad. Il a souligné que la réunion de Vienne2 était positive à travers des point de vus similaires entre les pays, mais qu'il existait encore un certain écart entre les pays participants la Russie et l'Iran sur la question du départ de Bachar Al-Assad.